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Rando en bord de mer - Chapitre 2 - Bivouac

Après notre pause coquine et notre repas, nous enfilons nos vêtements, rangeons nos serviettes et reprenons la marche. Le paysage de ce sentier cotier est enchanteur. La chaleur étant forte et n'ayant croisé personne de l'après-midi, nous avons profité d'une pause pour nous déshabiller entièrement et pouvoir profiter du plaisir de marcher nus. Nous n'avons conservé que nos chaussures de randonnée. Nous marchons sous le soleil d'un bon pas pendant plus de 3 heures, profitant de la nature et du temps agréable. Subitement, en contrebas du chemin, nous voyons une petite crique enchassée dans les falaises avec une plage de sable fin. En bordure de la crique, se trouve une jolie surface plane recouverte d'une herbe rase et ombragée par de grands pins. Entre cette petite prairie et la plage coule un ruisseau d'eau claire. Nous décidons de bivouaquer là. La descente vers la crique se fait sur un sentier rocheux assez escarpé. Par endroits, nous devons nous entraider pour éviter de glisser ou de trébucher. Nos entraides donnent lieu à des caresses, attouchements, léchouilles et baisers. La situation est assez excitante et nous arrache des soupirs de désir. Au bout d'une demi-heure de descente, nous atteignons l'espace ombragé et montons notre tente igloo unique. Puis nous installons nos matelas de mousse à l'ombre des arbres, en dehors de la tente en vue d'un repos bien mérité. Nous enlevons alors nos chaussures avec soulagement, avant d'aller nous laver à la rivière.

L'eau est fraiche, relaxante, bienfaisante après la marche et la chaleur de la journée. Nous nous savonnons mutuellement, échangeant les caresses à trois. Les caresses se changent progressivement en massages. Nous nous rinçons puis allons nous faire sécher assis sur un rocher plat en bordure de rivière. Nos caresses se font plus pressantes. Le sexe d'Eric et le mien augmentent de volume. Celui d'Isa commence à fortement s'humifier et ses lèvres intimes commencent à briller de désir. Nous échangeons des baisers langoureux. Puis, je me penche sur le sexe d'Eric, achevant de le mettre en érection à petits coups de langue tout le long de sa hampe. Mes lèvres se referment sur son gland que je suce doucement. J'en fais le tour avec la langue, avant de l'avaler progressivement. Je m'allonge sur le dos sur la pierre et Eric vient s'allonger sur moi, me prodiguant le même traitement dans un 69 délicieux. Je jette un coup d'oeil à Isa. Elle semble passablement excitée par la situation. Ses cuisses brillent de mouille. Sa main caresse son mont de vénus et joue avec son clitoris. De son autre main, elle caresse ses seins, tire sur ses tétons, les pince. Ceux-ci se dressent d'excitation sous la caresse. Puis elle écarte en grand les cuisses, écarte ses lèvres intimes pour me montrer son intimité, déjà dégoulinante de mouille, en m'adressant un sourire coquin. Ses yeux expriment une excitation, une sensualité et un désir forts. Pendant que nous suçons, elle s'enfonce un doigt dans le vagin, le ressort couvert de mouille, le lèche à la façon d'une fellation d'une façon parfaitement impudique et obscène. Elle refait la même chose à plusieurs reprises, d'un doigt, puis deux, puis trois. Tout en nous suçant mutuellement, Eric et moi la regardons d'un oeil, profitant du spectacle qu'elle nous offre. Elle se pénétre alors de quatres doigts, emprisonnant son mont de vénus dans la paume de sa main. Elle alterne les mouvements de pénétration en profondeur et les mouvements circulaires. Sa respiration s'accélère. Elle gémit doucement. Elle continue à nous mater les yeux mi-clos. Nous accélérons le rythme de nos fellations respectives. Je sens les sucions d'Eric de plus en plus fortes. Je lui rend la pareille. Il s'interrompt un instant pour s'humecter un doigt et l'enfoncer doucement en moi. Je lui rend la pareille. Puis, il m'enfonce doucement un deuxième doigt avant de reprendre sa fellation. Je m'empresse de lui rendre la politesse. De son coté, Isa arrête de se caresser la poitrine. Elle humecte deux de ses doigts et les enfonce assez brusquement dans son anus, sans pour autant interompre sa pénétration vaginale. Ses gémissements se font de plus en plus fort. Les mouvements de sa double pénétration se font plus rapides. Nos fellations respectives se font pressantes. Nos doigts font et viennent dans nos culs de plus en plus vite et fort, nous stimulons fortement nos prostates respectives. Dans un râle étouffé par la fellation, j'explose au fond de la gorge d'Eric. Ce dernier a du mal à garder en bouche mes giclées de sperme. Le goût de mon plaisir le fait jouir à son tour. Je sens la pression de ses jets contre mon palais. Il jouit aussi très abondamment. Nous avons tous deux du mal à tout conserver dans notre bouche. Les râles rauques de nos orgasmes ont provoqué celui d'Isa, qui hurle son plaisir. Son sexe est innondé de mouille. Nous venons l'embrasser à pleine bouche, partageant le sperme que nous avons en bouche avec elle. Nous en avalons la moitié chacun, puis elle entreprend de finir de nettoyer nos lèvres, nos mentons et nos sexes gluants avec la langue. Nous lui rendons la pareille en nettoyant son sexe encore humide et ses cuisses de nos langues. Après un dernier rafraichissement dans la rivières, nous allons nous étendre sur nos matelas à l'ombre des pins. Nous sombrons alors dans un sommeil réparateur, toujours nus, avant de préparer, puis prendre notre repas.

Vu la chaleur de la soirée, nous restons nus, allongés sur nos serviettes de plage. Nous dinons d'un repas simple, réchauffé sur un feu de bois que nous avons allumé sur la plage. En guise de dessert, Eric sort des bouteilles de yaourt liquide à boire. Il avait pris la précaution de les faire rafraichir dans le ruisseau. En buvant, Isa s'en renverse, peut-être pas si accidentellement que çà sur les seins, en s'écriant: "Mais, qu'est-ce que je suis maladroite alors!". Pour lui rendre service, nous nous empressons avec Eric de lui nettoyer les seins avec nos bouches en nos langues. Nous nous saississons alors de nos bouteilles de yaourt pour les verser sur le ventre et le pubis d'Isa. Nous la léchons longuement à deux langues, tout en lui caressant les seins. Ses tétons durcissent rapidement, nous les tirons et les pinçons doucement. Elle gémit de plus en plus. Nous descendons vers ses cuisses qu'elle écarte en grand pour nous laisser accès à son intimité. Nous plaçant cote à cote entre ses jambes, nous entreprenons de jouer avec nos langues sur son clitoris en même temps. Ce faisant, Isa se caresse les seins, pendant que nous pénétrons son sexe d'un doigt chacun. Eric entreprend de lubrifier un de ces doigts de sa salive, avant de pénétrer l'anus de sa femme avec. Ce faisant, nous nous masturbons doucement mutuellement. Isa gémit de plus en plus fort et caresse ses tétons de plus en plus vite. Nous sentons son clitoris se raidir sous caresses de nos langues. Nos doigts se font plus insistants en elle. Nous sentons son anus et son vagin se contracter autour de nous. Elle crie alors son plaisir en serrant ses cuisses autour de nos têtes.

Le temps de reprendre ses esprits, puis elle nous demande de venir nous agouiller de part et d'autre de sa tête. Elle entreprend alors de nous masturber et de nous sucer à tour de rôle. Puis elle frote nos glands l'un contre l'autre, tout en nous léchant, avant de les prendre tous deux en bouches en même temps. Elle s'interrompt, puis nous dit qu'elle veut sentir nos bites en elle, en même temps. Elle se place en quatre pattes, nous offrons la vue d'une femme offerte, attendant que deux hommes s'occupe d'elle. Je rampe en dessous d'elle, en profitant pour caresser et lécher sa magnifique poitrine. Elle prend mon sexe entre ses doigts, guidant ma verge en elle. Je sens ses lèvres mouillées s'écarter au passage de mon gland. Je me sens pénétrer dans un fourreau chaud et humide. Elle dégouline de plaisir. Eric se place derrière elle. D'une poussée à la fois ferme et lente, il fait pénétrer son sexe entier dans l'anus de sa femme, après l'avoir lubrifié. Je sens son pénis caresser le mien au travers de la fine paroie séparant l'anus d'Isa de son vagin. Isa est très excitée. Je sens sa mouille couler le long de mon sexe, sur mes testicules et sur mon bassin. J'empoigne alors ses seins à pleines mains, les malaxant et les pétrissant, frottant ses tétons sur les paumes de mes mains. Eric empoigne sa femme par les hanches et commence à la sodomiser de mouvements amples, lents et sensuels. Isa commence à faire onduler son bassin, alternant avec des mouvements rotatifs. Elle me fixe dans les yeux, d'un air gourmand. Son anus se dilatant, Eric peut maintenant aller et venir à son aise en elle. Il accélère ses mouvements. Etant coincé sous elle, je ne peux pas bouger, mais elle commence à effectuer des mouvements de bas en hauts, s'empalant sur nos sexe. Rapidement, ses gémissements se transforment en petits cris. Sa respiration s'accélère. Elle mouille de plus en plus. Pour Eric et moi, la situation de vient de plus en plus excitante. Elle a alors un très fort orgasme. Son corps est pris de convulsions. Son sexe et son anus se contractent autour de nos sexes. Elle nous fait alors jouir au plus profond d'elle d'une ultime poussée. Nos jets de sperme en elle provoquent des soubressauts de plaisir de ses muscles. Epuisée, elle se laisse tomber sur moi, les yeux clos, la respiration coupée, m'embrassant à pleine bouche. Nous restons en elle quelques instants. Puis elle se laisse rouler sur le coté. Nos spermes commencent à s'écouler doucement de son sexe et de son anus. Nous entreprenons de la nettoyer de nos langues. Eric lèche son vagin pendant que je nettoie son anus. Nous avalons et goutons le sperme de l'autre. L'excitation de la situation et nos caresses bucales provoquent chez Isa un troisième orgasme très rapide, au bout d'à peine quelques minutes. Nous l'embrassons à tour de role à pleine bouche pour lui faire partager le parfum de notre plaisir. Finalement, la fraicheur tombant, nous rentrons nous coucher sous la tente commune. Nous sombrons dans un sommeil profond rapidement après des caresses et calins mutuels très tendre. Notre sommeil est peuple de rêves très agréables.
 
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